Invites :

Dimanche 24 novembre : 12h Restaurant Cochon Voyageur Foire Antiquités-Brocante Quinconces Bordeaux.
Dimanche 1er décembre : 16h Thé matcha et poésies, rue Saint Laurent à Bordeaux.
S’inscrire : 0619996299 0556440931 ou jeanpierreroche@hotmail.com

Nouveau texte octobre 2024 : “Qu’est ce que l’art ?” Notre programme de gouvernement…

Une pensée centrale pour Les Esprits Libres : Claude LEFORT
France Culture. Série Claude LEFORT et le XXème siècle. 18 au 22 novembre.
1/4 : De "Socialisme ou barbarie" à "Un homme en trop" : le stalinisme décortiqué
Claude LEFORT fonde "Socialisme ou Barbarie" en 1948 avec CASTORIADIS.
Une émission importante pour les grands questionnements d’esprits libres : Réformisme radical ou pensée révolutionnaire ? Marxisme ou pensée libertaire ? Quel conseillisme ? Parti ou non, démocratie directe ou conseillisme et représentation ?
2/4 Pourquoi le lieu du pouvoir en démocratie est-il "vide" selon Lefort 
3/4
4/4

Lire les poèmes érotiques
NOUVEAU : AUDIOS et TRADUCTIONS en anglais à la suite de chaque poème
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Sept nouveaux poèmes septembre 2024 :
Nous en viendrons aux mains, Sublimée, Dessein, Brouillon volé, Mots habités, Délivrée, Vers à s’envoyer.

A mes lectrices et lecteurs attentifs et pointus :
Petit ajout, "Nos désirs sont désordre", à mes "Écrits en l'air 2", ajout à ma variation à partir de la phrase de S. Mallarmé :
"Un coup de dés jamais n'abolira le hasard"
Pour les situationnistes c'était un coup de trop ou un coude en l'air qui jamais n'abolissait la dérive.
Le texte devient : 
Nos désirs sont désordre.
Un coup de désir
Jamais n’abolira le bazar.

Texte ainsi plus proche de Lacan : "Ne pas céder sur son désir" et qui s'amuse avec les ordres à nous-mêmes que sont nos désirs voire donnés à nos… maîtresses...
Preuve que l'on peut être et avoir l'été outrepassant le moi doute.

Le nouveau poème “Vers à s’envoyer” avec en sous-titre "Texte amant" ou pas !
Considérons qu'« Exister c’est danser avec le temps qui nous tue. » Friedrich Nietzsche
Considérons que « L’homme libre ne pense à rien moins qu’à la mort, et sa sagesse est une méditation non de la mort mais de la vie. » Baruch Spinoza                                                                                          
Deux citations en exergue du recueil, sagesse tragique, gai savoir, art vécu.
Il semble que ces éléments nous invitent à narguer et baiser la mort jusqu'au dernier moment et ensuite elle ne peut plus nous atteindre. Je suis pour ma part rassuré et ne crains nullement ses odeurs de sapin qui ne me concernent pas comme elles n'ont nullement concerné ce qui s'est passé avant ma vie. La mort n'existe pas, n'a aucune prise sur l'art vécu. La finitude de la vie est l'élément indispensable pour faire de la vie une chose intéressante, passionnante, érotique, une œuvre d'art. La finitude est divine et nous pousse à faire au mieux, à exceller. Sans cela ce serait "mortel" si j'ose dire...
Avec ces considérations nous touchons au cœur de l'éros vainqueur.
Ces éléments tendent plutôt à conserver le "Texte amant" mais sont-ils décisifs ?
En parlant de "décisifs" il y a dans le jardin de la Fondation Cartier à Paris un endroit où sont plantés six arbres, six ifs, et c'est un endroit où il est vraiment extraordinaire de déclarer sa flamme car c'est l'instant des six ifs, décisif... Y aller avec une femme est troublant. L'if est un arbre remarquable.
Le cyprès symbole d'hospitalité et d'immortalité est proche. Au nombre de deux, on veut indiquer aux voyageurs que dans ce lieu on peut boire et manger. En ajoutant un troisième, on propose le gîte. Un seul arbre pour une taverne ou un cabaret, deux pour se restaurer, trois être hébergé. On pourrait imaginer un quatrième…
On rajoutera au Texte Amant un Condamné à mots

La lettre politique des Esprits Libres
Notre proposition pour gouverner avec convivialité

Vidéo : L'étranger JPR.mp4

Annie Le Brun, mort de la dernière des surréalistes

« "Le Gai savoir" de Nietzsche »
Manuel d'un retour à la vie
1/4 : Comment atteindre le "gai savoir" ? 
2/4 Nietzche contre le mythe du self-made man
3/4 Pourquoi renoncer à la vérité ?
4/4 Nous voulons être les poètes de notre vie

THÉÂTRE
Montaigne Les essais
Jouir loyalement de son être
Samedi 20h30, Dimanches 15h30
Fables d’Ésope à La Fontaine
Jeudis et vendredis 20h30 Réservations : 0556510473
Le Petit Théâtre, 8/10 rue du Faubourg des Arts - Bordeaux.

Venise - Ernest Pignon Ernest. Jeu est un autre.
Dans la sérénissime, l’œuvre d’Ernest Pignon Ernest, dans le cadre de la Fondation Vuitton, est présentée remarquablement dans une pourtant petite exposition. Å côté de chaque œuvre, concernant Pasolini, Rimbaud ou Genet par exemple, nous pouvons apprécier une vidéo montrant tous les lieux d’affichage sauvage dans les villes respectives. La place accordée aux poétesses, la russe Anna Akhmatova et l’iranienne Forough Farrokhzad, est judicieuse par ces temps qui s’entravent. Robert Desnos, Pablo Neruda, Antonin Artaud, Gérard de Nerval, Édouard Glissant, Vladimir Maïakovsky sont également servis. Un délice. Jusqu’au 24 novembre 2024.

SURRÉALISME, une écoute importante :
Épisode 1/4 : À la naissance du surréalisme : la guerre dans la tête
Épisode 2/4 : "La Révolution, d'abord et toujours" (Breton)
Épisode 3/4 : L’art et l’amour, ou le merveilleux Eros des surréalistes
Épisode 4/4 : Le surréalisme est-il mort ?

Spinoza
1/5 Passion Spinoza lundi 22
2/5 Comment résister aux passions tristes    mardi 23
3/5 Une philosophie de passage    mercredi 24
4/5 Les affects en politique    jeudi 25

Avoir raison avec Mendes.

Faire œuvre d’art de son existence

« Qu’est-ce que la vie ? A cette question répond pleinement et justement,
chaque œuvre d’art vraie et réussie
 » Arthur Schopenhauer    

« L’art est ce qui rend la vie plus intéressante que l’art » Robert Filliou         

« Aimer est entreprendre un voyage éternel »

« Le bonheur n’est pas une destination ou une gare atteinte un jour,
mais une façon de voyager »
Margaret Lee Runbeck      

« Nous sommes condamnés à la liberté » Jean-Paul Sartre

« Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres » La Boétie       

« Optimisme de la volonté, pessimisme de la raison
 » Antonio Gramsci    

« Exister c’est danser avec le temps qui nous tue », comme s’il s’agissait de toujours revivre nos instants, de les transformer en moments éternels. 
« On voit à la démarche de chacun s'il a trouvé sa route, l'homme qui
s'approche du but ne marche plus, il danse.
 »
« Danse maintenant sur mille dos, sur le dos de lames perfides – Salut à qui crée des danses nouvelles ! Dansons de mille manières, que notre art soit nommé libre ! Qu’on appelle gai notre savoir ! Sur tout ce qui fleurit prenons une fleur pour notre gloire et deux feuilles pour une couronne ! Dansons comme des troubadours parmi les saints et les putains, dansons entre Dieu et le monde ! »    
« La liberté c'est de savoir danser avec ses chaines. »    
« Il faut avoir une musique en soi pour faire danser le monde. »       
« Et ceux qui dansaient furent considérés comme fous par ceux qui ne pouvaient entendre la musique. »          
« Dansons la vie » Friedrich Nietzsche

« L’homme libre ne pense à rien moins qu’à la mort, et sa sagesse est une méditation non de la mort, mais de la vie ». Baruch Spinoza   

« Les Chevaux du désir boiront l’eau des rivières     
Sur les rives des villes envahies par les fleurs. 
» Raoul Vaneigem   

« Ne pas céder sur son désir. » Jacques Lacan           

« Faire au mieux même si c’est périssable. » Marcel Conche      

Gai savoir face au tragique de l’existence, sagesse tragique.     
Vivre pleinement, dans la joie, dans le passage à plus de perfection.
Amour, amitié, art, philosophie et poésie,            
dont l’art politique, art d’organiser la cité,            
façons d’outrepasser le tragique existentiel       
et de toucher à l’immortalité de la spiritualité.
Existentialisme de l’art vécu et du libertinage politique et existentiel.
Vivre, voyager et aimer en esprit libre.  

La vie est tout, encadrée, avant et après, de rien.
Toute notre pensée doit aller à la vie et nulle pensée ne doit perdre son temps de vie à la spéculation métaphysique.
« L’homme libre ne pense rien moins qu’à la mort » Spinoza.
Mort qui n’a aucune importance sauf en ce qu’elle est indispensable pour rendre la vie intéressante et nous faire humains.
Le « Faire au mieux, même si c’est périssable » de Marcel Conche, comme le « Celui qui existe c’est celui qui danse avec le temps qui le tue » de Nietzsche, me semblent des boussoles essentielles nous libérant des croyances religieuses en particulier, nous imposant de faire œuvre d'art de notre existence.
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Le mot ment ou pas,
Le moment ne ment pas.
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Lepénistes et maréchalistes, d'enfants d'Pétain en fans d'Poutine
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La situation laisse à désirer...
Désirons plus fort encore !
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Vous prendre aux mots
En pécheur à la ligne,
Donner sa langue à la chatte,
En franc, c'est dans le sexe.
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Avec l'éros nous changeons le monde. Rose, éros, oser.
Nous avons croisé d'yeux
tout près du ciel,
Queribus L'étranger JPR.mp4
étions embarqués pour ne pas s'y taire
et avons gouté à des Ondes
… Ce serait très léger mais grave en même temps,
En sorte une musique, écoutez dans le vent,
Ce serait comme un signe et qui viendrait de l’âme
Enfin un sentiment que c’est bien vous la femme…
S’envoyer en vers

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RENDEZ-VOUS BORDEAUX :

Dimanches 10h30 Café Brasserie Passage Saint Michel
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S.E.L. Salon des Esprits Libres à Bordeaux, Tous les mois et trois jours autour du 1er 2025.
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Renseignements :
me contacter au 0619996299 ou jeanpierreroche@hotmail.com


L’essentiel : Le tragique selon Marcel CONCHE par A. Comte SPONVILLE.
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Jean Jouzel : "Le capitalisme est incompatible avec la lutte contre le réchauffement climatique"
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Tuer l’éros, tuer la vie. 
Tu hais l’éros, tu hais la vie. 
Tu es l’éros, tu es la vie. 
Éros c’est la vie.

Rose, éros, oser. 12 2023

CULTURE

ÉCOUTER :
Avec philosophie
Ivresses et démesures
Épisode 3/5 : "Ce que l'on ne peut prohiber il faut nécessairement le permettre" disait Spinoza
Alexandra Kollontaï, une étincelle de la révolution
Notre époque veut-elle des chefs ?
Adorno, Marcuse, Castoriadis… Imagination théorique et pratique
Adorno, Benjamin, Breton, Castoriadis, Horkheimer, Marcuse…
Imagination théorique et imagination pratique
"De même que la prohibition a de tout temps ouvert la voie aux produits plus toxiques, l'interdiction de l'imagination théorique ouvre la voie à la folie politique", écrivent Adorno et Horkheimer.
Quelle place donner à l'imagination théorique en politique ?
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Olympe de GOUGES “La langue et le couperet”, au panthéon des Esprits Libres, liberté et féminisme face au robespierrisme. Sur Culture.
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Discours sur la servitude volontaire de La Boétie
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FILMS :
Délectable dialectique, "à casser les briques" façon situ, de Wim Wenders sur Culture qui, en français à sa façon, nous sort :
" Il y en a qui ont trop de tout et d'autres qui ont pas assez de rien " !
Moment de radio, flamboyant cinéaste.
Son dernier film PERFECT DAYS Ode à l’art vécu.
Son avant dernier film, meilleur film d’art qui soit, sur Anselm KIEFFER. Anselm, le bruit du temps.

”El profesor” Argentine.
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LIRE :
”Le frérisme et ses réseaux” Florence BERGEAUD-BLACKLER. Éditions Odile Jacob.
”Le couteau” Salman Rushdie
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Diane au collège J. Cartier à Issou 
Jeudi 7 décembre, dans le cadre de l'étude d'un texte avec une classe de 6e de l'établissement, une professeure de français a montré une œuvre du peintre Giuseppe Cesari, dit le Cavalier d’Arpin, datant du XVIIe siècle. Le tableau s’intitule "Diane et Actéon”, on y voit Actéon découvrant la déesse Diane prenant son bain accompagnée de ses suivantes dans la fontaine de Gargaphie. La déesse est nue ainsi que celles qui l’entourent. 
À la vue de ce tableau, quelques élèves ont détourné ostensiblement le regard. Après ce cours des rumeurs ont commencé à circuler sur le fait que cette professeure aurait cherché à choquer des élèves et tenu des propos racistes et islamophobes. Le soir même, des parents d'élèves se sont présentés devant l'établissement pour avoir des explications sur les propos qu'aurait pu tenir cette professeure. 
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Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude” Albert CAMUS.

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